Le nom sumérien original du Tigre était Idigna (eau courante). Ce nom était utilisé par les Akkadiens, qui l'appelaient Idiqlat. Puis, avec l'aide d'un intermédiaire perse ou directement via un akkadien, le nom a été adopté par les Grecs comme Tigris (tigre en grec). Un autre nom attesté pour le Tigre est Arvand Rud qui a été utilisé durant le temps de l'empire perse.
Language | Noms pour Tigre |
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Akkadien | Idiqlat |
Arabe | دجلة, Diğlä |
Arménien | Տիգրիս, Tigris |
Grec ancien | ἡ Τίγρης, -ητος, hē Tígrēs, -ētos; ἡ, ὁ Τίγρις, -ιδος, hē, ho Tígris, -idos |
Hébreu | חידקל , Ḥîddeqel |
Hourrite | Aranzah |
Kurde | Dîcle (Prononciation : Didjlé) |
Persan | Vieux-persan:Tigrā; Persan:دجله Dijle |
Sumérien | Idigna/Idigina
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Syriaque | ܕܩܠܬ Deqlaṯ |
Turc | Dicle (Prononciation : Didjlé) |
La Turquie a disposé plusieurs barrages sur les affluents du Tigre dont le principal, encore en construction, est le barrage Ilisu. (Voir « Projet d'Anatolie du Sud-Est », le projet turc d'aménagement du Sud-est anatolien).
L'Irak a également aménagé le fleuve pour irriguer et assécher les marais du sud-est.
Voir « Liste des ouvrages hydrauliques du GAP » pour accéder à la liste complète des ouvrages turcs construits ou prévus sur le bassin du Tigre et de l'Euphrate
La Syrie prévoit de créer des zones irriguées à partir de stations de pompage dans le Tigre.
D'amont en aval :