En français, les traductions de qualité sont peu nombreuses. Celles d'Émile Chambry sont considérées comme imprécises, et celles de Léon Robin sont en revanche considérées comme les plus rigoureuses ; d'après Luc Brisson, en effet, « quand on a le texte grec devant les yeux, on s’aperçoit qu’il ne manque rien à ces traductions, et qu’elles ont un souci de rendre compte de tous les mots. » Cette exactitude tend toutefois à rendre le texte français difficile à lire.