Une étude indique que le risque de cancer du sein chez les femmes est inférieur chez ceux qui ont fréquemment des orgasmes (plus de 14 orgasmes par mois), en particulier après 50 ans.
D'après une autre étude sur 918 hommes de 45 à 59 ans, et suivis durant 10 ans, le risque de mortalité est inférieur de 50% chez ceux qui ont fréquemment des orgasmes (plus de 2 fois par semaine).
On peut ne pas avoir d'orgasme durant un rapport sexuel, voire ne jamais l'éprouver. On parle alors d'anorgasmie.
L'orgasme entraîne généralement des effets physiologiques qui préviennent les partenaires de décider de 'faire l'amour' à nouveau.
Selon les termes de William Masters et Virginia Johnson, il s'ensuit une période réfractaire, dite « résolution » qui peut être plus ou moins longue selon l’âge et le degré d’excitation (généralement de 5 à 20 minutes).
La détente post-orgasmique des corps favorise le sommeil qui peut survenir après, si l'on y consent. Les hommes y sont fréquemment sujets mais pas toujours. Les femmes y sont sujettes aussi, mais dans une moindre proportion.
Des pleurs peuvent survenir spontanément et naturellement après un rapport sexuel, si la charge émotionnelle induite, la charge érotique physique, l'excitation sexuelle, ont été fortement ressenties durant le coït, surtout dans ses parties génitales. Il y a alors une sorte de retour, de relâchement de la tension, remontant du bassin vers la tête, provoquant du même coup cette réaction. Il n'y a pas lieu de s'alarmer alors, sauf si la cause est d'origine traumatique et refoulée dans l'inconscient. Les pleurs peuvent même survenir au cours de l'orgasme lui-même, de façon incontrôlée. Il peut tout à fait s'agir de pleurs de joie, quand l'orgasme a été particulièrement exceptionnel (par exemple la révélation du premier orgasme dans la vie d'une femme).
Différentes sortes d'émotions plus ou moins « heureuses » peuvent être ressenties après l'orgasme.
« Alors… heureuse ? »
— Jean-Pierre Marielle, dans le film les Galettes de Pont-Aven
Suivant l'attente du couple face au résultat à la fin du rapport sexuel, ou s'il y avait un objectif de réussite trop ambitieux posé avant celui-ci. Par exemple, certaines personnes considèrent l'orgasme comme une expérience extatique obligatoirement associée au coït, voire un aboutissement complet de leur relation affective. Cela peut avoir pour certains un caractère tout à fait déceptif car toute relation amoureuse ne peut se baser entièrement sur la relation sexuelle.