Appelée en portugais Palanca Negra et emblème de l'Angola, cette sous-espèce ne se trouve nulle part ailleurs dans le monde. On n'en comptait plus que 2500 individus dans les années 1960 ; et pendant la guerre civile qui a suivi l'indépendance de l'Angola, une très grande partie a été décimée. Depuis 1982, aucun hippotrague noir géant n'avait même été observé dans la forêt épaisse qui constitue son habitat, jusqu'au 26 février 2005, où une série de photos, prise par un appareil à déclenchement automatique, aurait révélé l'existence d'un groupe en bonne santé. Aujourd'hui il en reste environ 30.
Ses prédateurs sont les lions, mais aussi l'homme.