Autrefois, cette plante n'était pas seulement réputée pour ses propriétés médicinales : la légende raconte que la belle Hélène en tenait une branche à la main lorsqu'elle fut enlevée par Pâris (d'où son nom scientifique). Dans la symbolique chrétienne, elle est associée, en raison de de ses pouvoirs médicinaux, à la guérison des péchés. « L'Inula résiste au poison, éclaire la poitrine malade/Et donne au coeur joie et plaisir. Celui qui aime la parole de Dieu et son église,/qu'il traverse sans peine la vallée des soupirs de la vie... » (Hohberg, 1675).