Les nombreux inconvénients des essais nucléaires les font progressivement remplacer par les simulations informatiques. Ces simulations utilisant la méthode de Monte-Carlo tel la Monte-Carlo N-Particle transport permettent de poursuivre le développement d'armes nucléaires sans avoir recours à des explosions de test.
L'alternative consistant à supprimer les bombes nucléaires de la surface du globe est l'objet d'un débat propre à l'ère nucléaire.
Le Département de l'Énergie des États-Unis (DOE) estime que 70 000 personnes ont été tuées instantanément à Hiroshima et 40 000 à Nagasaki. Mais un plus grand nombre de personnes sont décédées dans les années qui ont suivi. Ainsi, cinq ans après l'explosion, le nombre total de décès est estimé à peut être 200 000 personnes à Hiroshima. Pour Nagasaki, le chiffre d'un total de 70 000 décès en janvier 1946 est avancé.
Plusieurs facteurs empêchent de fournir des statistiques fiables du nombre de victimes à ce jour, entre autres, le fait que nombre de victimes sont sorties d'elles-mêmes des statistiques officielles, telles ces Coréens rentrés en Corée après la guerre (10 % de l'ensemble des victimes étaient coréennes, selon les estimations japonaises).
De fait, en 2003, ces deux villes sont engagées dans deux combats : le premier, mis en avant, pour la paix ; le second, pour le soutien aux victimes, les hibakusha, n'a pas été relayé au niveau national.
Des expressions et mots nouveaux sont apparus, en conséquence directe des explosions nucléaires :