Plusieurs espèces ont été remarquées pour la qualité de leur floraison et diffusées à travers le monde comme arbres d'ornement. C'est notamment le cas de Dombeya wallichii, aux remarquables pompons de fleurs roses, et des hybrides qui en sont issus comme Dombeya x cayeuxii. La persistance des pétales fanés chez les Dombeya après la phase de floraison peut cependant, selon les espèces et les goûts, constituer un atout ou au contraire un inconvénient esthétique.
Les potentialités textiles du liber des Dombeya, fibreux et se détachant en longues lanières d'écorce, ont été ou sont encore exploitées par les forestiers pour la fabrication de liens de fortune servant à attacher les fagots, par les vanniers pour la confection de paniers et de vans, par les populations locales pour la fabrication de toiles grossières, de filets, etc.
Certaines espèces sont réputées posséder des vertus médicinales. L'écorce, qui est encore la partie utilisée de la plante, renferme effectivement chez quelques espèces, comme Dombeya populnea et Dombeya acutangula, des alcaloïdes.
Les prélèvements d'écorce, à des fins traditionnelles textiles ou médicinales, ont hélas contribué avec le défrichement, à la raréfaction dramatique, à La Réunion et à l'île Maurice, des espèces de zone sèche.
Le bois, cassant, est de qualité médiocre. Celui de certaines espèces a pu néanmoins servir occasionnellement à la fabrication de flotteurs de pêche, de rames ou d'objets sculptés et de divers ustensiles.
Le nectar des fleurs de Dombeya attire les abeilles et permet la production d'un miel clair, très finement cristallisé.