Le DMT est répertorié dans la Convention sur les substances psychotropes de 1971 ce qui rend son usage règlementé et surveillé ; dans certains pays, sa possession, sa consommation ou son trafic peuvent être interdits. Les peines encourues par les contrevenants peuvent inclure la prison ferme.
La diméthyltryptamine est régi au Canada par la Loi sur les aliments et drogues et est classée comme une Schedule III Drug. Sa possession et son trafic y sont passibles d'une peine d'amende ou de prison, allant jusqu'à dix ans de prison ferme pour son trafic.
Elle est régie par la Loi sur les substances contrôlées (Controlled Substances Act)et fait partie des Schedule I Drugs à même titre que l'héroïne ou l'ecstasy. Sa possession et son trafic sont passibles de prison.
Le DMT est inscrit au registre des stupéfiants.
Certains écrivains ont relaté leurs expériences supposées avec la diméthyltryptamine, en particulier Terence McKenna et Jeremy Narby. Le premier auteur décrit la rencontre avec des « elfes mécaniques en mutation » (self-transforming machine elves) ; d'autres font état de communication avec des intelligences non humaines.
D'un point de vue plus scientifique, Rick Strassman a écrit La molécule de l'esprit (The Spirit Molecule).
Bernard Werber, dans son livre L'Ultime Secret, émet l'hypothèse qu'à l'instant précis de la mort, la glande pinéale décharge une plus grande dose de diméthyltryptamine dans le cerveau, rendant le passage de vie à trépas moins pénible. Cette hypothèse expliquerait cette sensation de mort imminente relatée par certains utilisateurs du DMT.
Dans le film Enter the void de Gaspar Noé, une très longue séquence tente de reproduire les effets du DMT sur la conscience.
Hunter S. Thompson y fait référence dans Las Vegas Parano, où il déclare être nostalgique de l'époque où la DMT courrait les rues de San Fransisco.
Il est souvent confondu avec la 5-MeO-DMT.