Les caractéristiques physico-chimiques dont l'ordre de grandeur est indiqué ci-après, influencent les risques de transfert de cette substance active vers les eaux, et le risque de pollution des eaux :
On manque de données toxicologique précises concernant l’homme. La dose journalière acceptable (DJA) est aujourd'hui (2006) de l’ordre de : 0,01 mg·kg-1·j-1. Il provoque une sensation de brûlure sur la peau, avec érythème facial et péri orbital possible, risque d'eczéma de contact (de photosensibilisation et/ou urticaire?). Selon l'OMS, une exposition chronique ou répété de la peau peut causer une dermatite et une sensibilisation cutanée. Une dermite irritative peut survenir pour des concentrations à peine supérieures à 0.01%. Les yeux rouges, irrités et des troubles de la vue surviennent en cas de contact avec l'œil. Des douleurs au ventre et une sensation de brûlure apparaissent en cas d'ingestion. Des effets sur les reins et les voies digestives peuvent survenir.
La base de donnée TELETOX (Base de données des produits phytosanitaires) rappelle qu'en raison des solvants organiques qui lui sont toujours associés, des trouble de la conscience, ou une pneumopathie peuvent survenir après inhalation. Une urticaire de contact et une réaction anaphylactique généralisée (œdème de quincke accompagnée de laryngospasme et dyspnée) apparus quelques minutes après l'inhalation sont aussi signalé par TELETOX pour un cas.