Trouble du rythme (ventriculaire), hypertension artérielle, hyperthyroïdie, insuffisance coronarienne, diabète...
L’adrénaline en injection est le médicament de choix pour le traitement des arrêts cardio-circulatoires, essentiellement en cas d’asystolie (défaillance du muscle cardiaque sans troubles du rythme). Elle est également utilisée dans les chocs anaphylactiques (d’origine allergique), et en réanimation, lors de certains états de choc graves. Son maniement reste délicat, car un surdosage peut entraîner tachycardie et troubles du rythme cardiaque qui peuvent aggraver l’état du patient.
Elle est commercialisée sous différents noms :
L'adrénaline est parfois injectée à faible dose en intra-articulaire lors d'examens arthrographiques en association avec un produit de contraste, son action permet un ralentissement de l'élimination du produit de contraste (notamment son absorption par les cartilages et la synoviale) et donc d'allonger la durée de l'examen.