[News] Quand la dépression incite à boire
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[News] Quand la dépression incite à boire
Boire vous déprime-t-il ou est-ce l'inverse: la dépression vous incite-t-elle à boire ? Une étude menée pendant huit ans auprès de quelque 1300 adolescents par des chercheurs canadiens, américains et allemands semble tendre vers la deuxième hypothèse et propose une solution: la connaissance de soi.
Si les gens apprennent à reconnaître et à gérer leurs moments de déprime, ils seront moins enclins à se médicamenter par l'alcool, croient les auteurs de l'étude.
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Re: [News] Quand la dépression incite à boire
Bonjour
……les adolescents qui consomment de l'alcool sont-ils plus à risque de dépression ou les adolescents qui éprouvent des symptômes de dépression sont-ils plus à risque de consommer de l'alcool ?.....Dit l’article
Il ne fait aucun doute que les adolescents qui se trouvent dans un état de mal-être persistant, qui s’apparente à un état dépressif, ou dans l’incapacité à gérer l’anxiété ou stress continu, sont plus prédisposés à consommer de l’alcool (mais aussi des drogues illicites !), que ceux qui n’ont pas des problèmes existentiels au-delà de la « normalité ».
L’incidence et gravité des répercussions physiques et psychiques, dépendent en très grande partie de la quantité mais aussi, et surtout, du type de degrés d’éthanol/litre consommé ! Boire un ou deux verres de vin, ou bières par jour, par ex. (préférablement pendant ou après les repas) ne devrait pas créer de problèmes majeurs –ou irréversibles- aux consommateurs ; boire par contre des alcools forts, gin, whisky, eau de vie etc..dans les mêmes proportions, c’est tout simplement suicidaire…. De la à prétendre que boire de l’alcool (même un ou deux verres par jour) est bon pour la santé, n’est autre qu’un mythe ! L'alcool (éthanol) –qui est une drogue licite par excellence- est la 2ème cause de mortalité (avec le tabac) en France (2015) !!!.... Mais pas seulement….
Sans oublier que certaines personnes (adolescents, mais aussi adultes) qui n’ont pas de problèmes existentiels majeurs, peuvent sombrer dans la dépendance excessive, ou addiction, par « contamination » suite à des mauvaises fréquentations !
NB : Il est fortement conseillé à toute personne présentant une addiction à l’alcool un accompagnement psychologique –ou thérapie- du type cognitivo-comportementale, pendant et après sevrage.
……les adolescents qui consomment de l'alcool sont-ils plus à risque de dépression ou les adolescents qui éprouvent des symptômes de dépression sont-ils plus à risque de consommer de l'alcool ?.....Dit l’article
Il ne fait aucun doute que les adolescents qui se trouvent dans un état de mal-être persistant, qui s’apparente à un état dépressif, ou dans l’incapacité à gérer l’anxiété ou stress continu, sont plus prédisposés à consommer de l’alcool (mais aussi des drogues illicites !), que ceux qui n’ont pas des problèmes existentiels au-delà de la « normalité ».
L’incidence et gravité des répercussions physiques et psychiques, dépendent en très grande partie de la quantité mais aussi, et surtout, du type de degrés d’éthanol/litre consommé ! Boire un ou deux verres de vin, ou bières par jour, par ex. (préférablement pendant ou après les repas) ne devrait pas créer de problèmes majeurs –ou irréversibles- aux consommateurs ; boire par contre des alcools forts, gin, whisky, eau de vie etc..dans les mêmes proportions, c’est tout simplement suicidaire…. De la à prétendre que boire de l’alcool (même un ou deux verres par jour) est bon pour la santé, n’est autre qu’un mythe ! L'alcool (éthanol) –qui est une drogue licite par excellence- est la 2ème cause de mortalité (avec le tabac) en France (2015) !!!.... Mais pas seulement….
Sans oublier que certaines personnes (adolescents, mais aussi adultes) qui n’ont pas de problèmes existentiels majeurs, peuvent sombrer dans la dépendance excessive, ou addiction, par « contamination » suite à des mauvaises fréquentations !
NB : Il est fortement conseillé à toute personne présentant une addiction à l’alcool un accompagnement psychologique –ou thérapie- du type cognitivo-comportementale, pendant et après sevrage.