sonic a écrit :alors fonce mon petit
Y a de l'envie, je crois à ce que je dis, mis pour passer à l'acte, je doute de la façon dont on peut s'y prendre, surtout en pensant aux réactions de ceux qui t'écoutent.
Selon moi : L'Histoire de l'Homme aujourd'hui
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Victor a écrit :je suis pas psy, ni curé, ni autorisé à quoique ce soit,
mais je vous trouve bien pessimistes jeunes gens...
Je n'ai qu'une réponse : développe le côté optimiste...
Il faut opposer les deux points de vue de manière complète et en débattre. Sachant que mon pessimisme met quand même quasiment tout ce qu'il y a de positif dans le trou... J'arrive toujours a trouver ce côté négatif des choses, parce que j'ai regardé de ce côté. Mais je ne connais personne d'autre de mon âge ou de ma génération qui ait exactement les mêmes idées que moi, si ce n'est que des gens plus expérimentés. Je ne nie pas qu'il y en aient, au contraire, je l'espère.
Il faut regarder au bout pour voir ce qui s'y passera, sans oublier les obstacles, et les déchets derrière nous. (J'aime bien cette idée de trou où l'on regarde le passé, le futur et où l'on évalue la "contenance" qui serait l'Univers, et plus ponctuellement notre planète)
On ne choisit pas de naître, on ne choisit qu'une autre manière d'affronter la fin...
Ma génération ne vous a pas laissé de trucs à conquérir... Nous avons fait de nos rêves une rente... Je le sais mais comme je vous plains de n'avoir pas avoir ce désir de tout changer.... CAR ça m'a toujours motivé même à 55 ans.... Vous avez le droit de nous engueuler pour avoir fait ce monde où des bobos vont faire du 4X4 dans l'Himalaya... Moi ce monde là, je ne l'aime pas non plus...
Bah oui Victor...
Perso j'adore la vie, je m'éclate à chaque seconde, je la crame par tous les bouts mais de manière positive voire constructive, je suis une optimiste née, foi en la vie quoi qu'il arrive. Eternelle gamine (31 ans), tout ce qui m'entoure me fascine même si je ne comprends pas tout d'un point de vue scientifique. Mais c'est pas grave, je m'en mets plein les mirettes, la Nature est fabuleuse, je ne m'en lasse jamais, elle exacerbe ma curiosité et mon enthousiasme. Tout m'émerveille, Tout, sauf l'être humain que je trouve intéressant dans son individualité mais tellement navrant dans sa globalité.
Si tout est acquis, alors retournons aux sources en harmonie avec la Nature. Ouep, c'est peut-être un peu hippititude, mais si la boucle est bouclée, brûlons le matériel pour retourner à l'essentiel...
Perso j'adore la vie, je m'éclate à chaque seconde, je la crame par tous les bouts mais de manière positive voire constructive, je suis une optimiste née, foi en la vie quoi qu'il arrive. Eternelle gamine (31 ans), tout ce qui m'entoure me fascine même si je ne comprends pas tout d'un point de vue scientifique. Mais c'est pas grave, je m'en mets plein les mirettes, la Nature est fabuleuse, je ne m'en lasse jamais, elle exacerbe ma curiosité et mon enthousiasme. Tout m'émerveille, Tout, sauf l'être humain que je trouve intéressant dans son individualité mais tellement navrant dans sa globalité.
Si tout est acquis, alors retournons aux sources en harmonie avec la Nature. Ouep, c'est peut-être un peu hippititude, mais si la boucle est bouclée, brûlons le matériel pour retourner à l'essentiel...
puppet master a piraté mon ghost
L'idée de retouner à un âge d'or c'est nier tout le progrès accomplis en 200 ans... J'aime assez l'idée de vivre dans un XVIIIième siècle mais du coté des aristo... Sans la technologie, la médecine, les moyens de transport, le confort lié à l'usage des énergies modernes... Alors je me dis stop que prends-tu? Que laisses tu ? Il est si facile de dire je garde que ce que j'aime... Mais je ne suis pas seul et c'est pas aussi facile... En 500 ans la nature peut se régénérer étonament mais pas les ressources minières, si on choisit c'est pas facile de savoir ce que l'on prend
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Victor a écrit :L'idée de retouner à un âge d'or c'est nier tout le progrès accomplis en 200 ans... J'aime assez l'idée de vivre dans un XVIIIième siècle mais du coté des aristo... Sans la technologie, la médecine, les moyens de transport, le confort lié à l'usage des énergies modernes... Alors je me dis stop que prends-tu? Que laisses tu ? Il est si facile de dire je garde que ce que j'aime... Mais je ne suis pas seul et c'est pas aussi facile... En 500 ans la nature peut se régénérer étonament mais pas les ressources minières, si on choisit c'est pas facile de savoir ce que l'on prend
Je suis assez d'accord avec toi sur un point :
On ne peut vivre sans évoluer, et je m'efforce de croire qu'il n'y a aucune explication à l'humanité, au passé et à l'avenir....
On ne choisit pas de naître, on ne choisit qu'une autre manière d'affronter la fin...
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La pensée, un sixième sens :
Aujourd’hui, si il existe bien un moyen de redéfinir notre monde, c’est penser. Mais qu’est ce que la pensé ? On peut distinguer plusieurs sens : le premier étant un avis sur quelque chose, on pense que telle chose est comme ça. Mais ce n’est pas ce côté-là que j’aimerais développer, c’est l’aspect imaginatif et rêveur, une liberté qui n’est pas exploitée par l’Homme…
Notre intelligence nous permet de faire bien des choses : réfléchir, se déplacer, parler, voir… Mais ça, tout le monde le fait. Quoique réfléchir, ce n’est pas à la portée de tout le monde, en tout cas réfléchir « intelligemment ». Je voudrais insister sur le fait que je ne parle ni d’opinion, ni d’idées, ni de faits concrets. Rationnels peut-être, mais transposer tout ça dans la réalité, c’est autre chose, nous y reviendrons à la fin. Maintenant que tout est clair, on peut commencer.
Penser est quelque chose de fictif, puisque ce n’est pas un fait que l’on produit avec des gestes ou même des expressions corporelles. La parole est également inutile, ce n’est pas nécessaire. Je vais tout d’abord vous expliquer ce que signifie ce si grand mot pour moi.
D’après moi, la pensé a un lien avec notre esprit. Tout le monde ne peut pas penser de la même façon et au même degré. Elle est propre à chaque individu. Les gens l’utilisent dans le sens que je ne veux pas impliquer dans ce texte. L’Homme ne pense qu’à lui, lui ne désigne pas forcément l’individu concerné, mais aussi les personnes rattachées à celui-ci. Ce sont aussi ses problèmes, ses histoires, sa vie au quotidien, mais passons. Tout part d’un point zéro, il faut se fixer un point de départ, une base sur laquelle on va s’atteler ensuite. Le sujet principal : comprendre l’humanité aujourd’hui. Rien que ça ! Et oui, mais ça ne se choisit pas directement, on ne se dit pas du jour au lendemain « tiens je vais essayer de comprendre le monde demain ». C’est un peu plus compliqué… Cela vient d’abord de votre esprit, donc de vous-même. Je crois que penser comme je l’explique n’est pas naturel pour l’Homme aujourd’hui. Mais il y a forte heureusement des gens qui sont encore comme ça aujourd’hui. Il faut d’abord être conscient que si nous sommes présents sur Terre, ce n’est pas grâce à nous, mais grâce à des événements que nous ne contrôlons pas, et cela peut former l’esprit : on se rend compte que rien ne nous oblige à être influencé par la société actuelle, ou à être comme tout le monde. C’est donc une forme de liberté intérieure, qui permet déjà de voir le monde comme on le souhaite et surtout différemment si on le veut, car être conscient de ça c’est déjà un grand pas dans l’exploitation de ces capacités humaines. Mais même arrivé jusqu’ici, tout n’est pas encore très clair. Être différent n’est pas une honte, loin de là, c’est même un signe de supériorité dans notre monde, car ressembler à tous ces gens dehors, n’est pas très valorisant. Je parle de l’intérieur bien sûr, pas d’autre chose. Mais pourquoi repenser le monde ? Probablement parce qu’en devenant différent, vous vous rendrez compte que la vie autour de vous est injuste, que les Hommes sont écœurants et que la société aurait pu être différente. Si vous avez lu « l’Histoire de l’Homme aujourd’hui » que j’ai écris précédemment, regardez bien la dernière phrase : « l’Homme est victime de lui-même ». Qu’est-ce que cela signifie ? Tout simplement que porter un jugement sur l’être humain, vous-même, n’est pas désobligeant, c’est même honorant, mais qui vous le dira ? Personne ne vous remerciera de le critiquer, pourtant certaines choses sautent aux yeux, certains ont mêmes honte d’être ainsi, moi par exemple, mais avec ce que je pense du monde maintenant, je me sens différent, libre et sûr de mes idées, mais je sais qu’elles ne seraient pas acceptées dans la société d’aujourd’hui.
Maintenant que je vous ai à peu près dis de quoi penser je vais vous dire comment. Vous êtes libre de faire ce que vous voulez avec votre cerveau, et de penser ce que vous voulez. Même si très peu de gens aimeraient être comme ça, essayez d’imaginer.
La pensé a d’autres liens, avec vos choix par exemple. Si vous êtes un littéraire ou un matheux, vous n’aurait pas forcément la même vision de la vie. Si vous êtes solitaire ou au contraire entouré, peut-être ne penserez-vous pas de la même façon. Certes la solitude est un moyen de voir les choses en profondeur, mais avoir beaucoup d’amis et aimé quelqu’un n’empêche rien. On pense différemment selon ses choix et sa situation, mais lorsque l’on se sent fort, on n’oublie jamais ce que l’on ressent, surtout à propos de notre monde aujourd’hui. Être maître de soi, c’est aussi savoir se contrôler psychologiquement malgré les humeurs ou des éléments extérieurs. Mais avant de devenir indépendant de l’influence de la société, des erreurs sont commises et des limites sont découvertes. Utiliser cette capacité c’est aussi découvrir et repousser ses limites d’être humain. Ces limites dépassées, on se rend compte que l’on est capable de choses que l’on n’aurait pas imaginées, malgré ce qui nous entoure. L’Homme porte trop souvent son jugement sur les autres, pense avoir toujours raison, être le plus fort, le plus intelligent… Mais s’il ne se connaît pas lui-même, comment peut-il critiquer les autres ?
Première réaction : Pourquoi se compliquer la vie, à s’efforcer de penser des choses que personne ne pense et à être différent des autres ?
Voir le monde ainsi est une erreur, c’est de l’ignorance. Après tout, qui a décidé que la vie se passée de telle manière ? On naît, on va à l’école, on découvre ses aptitudes, on continue ses études, on aime, on rit, on pleure, on donne un sens à sa vie… On trouve sa tellement évident qu’aucune raison ne nous pousse à réfléchir. Se compliquer la vie ? Chercher là où il n’y a rien à trouver ? Mais ce n’est pas ça pensé. Dans notre monde, tout le monde est dépendant de tout le monde. Mais l’être humain est aussi dépendant de l’humanité aujourd’hui. Ainsi, tout le monde est victime de toutes choses autour de lui, tout étant dépendant l’humanité, cette dernière regroupant la vie et la mort. Ainsi on ne choisit pas de naître, mais en plus on ne choisit pas qui être par la suite. Mais le fait de penser permet de tout remettre en question, et de dépasser ce modèle. Qui s’y intéresse, pas grand monde, mais le nombre ne signifie rien, seul l’esprit est déterminant.
Que devient-on après tant d’efforts et tant de détermination ? On se pose tous des questions sur l’issue d’un tel raisonnement engendrant une telle vie. Mais la réponse c’est vous qui la possédez, car la pensé permet d’être libre, et le jugement que l’on pourrait porter sur vous serait inexact s’il venait des gens autour de vous. Lorsque vous faites un choix, vous faites forcement le bon, parce que c’est vous qui l’avait fait. Les regrets et la vie peuvent vous dire le contraire, mais la vie c’est nous qui la faisons et les regrets sont issues de la vie. Encore une fois, l’Homme est victime de lui-même, il ne se comprend même pas, et ne comprend pas que les conséquences de ses actes existent parce qu’il en a décidé ainsi.
Alors la pensé est-elle un sixième sens ? Jeu de mots, certes… Mais c’est surtout une autre possibilité de donner un sens à sa vie.
Aujourd’hui, si il existe bien un moyen de redéfinir notre monde, c’est penser. Mais qu’est ce que la pensé ? On peut distinguer plusieurs sens : le premier étant un avis sur quelque chose, on pense que telle chose est comme ça. Mais ce n’est pas ce côté-là que j’aimerais développer, c’est l’aspect imaginatif et rêveur, une liberté qui n’est pas exploitée par l’Homme…
Notre intelligence nous permet de faire bien des choses : réfléchir, se déplacer, parler, voir… Mais ça, tout le monde le fait. Quoique réfléchir, ce n’est pas à la portée de tout le monde, en tout cas réfléchir « intelligemment ». Je voudrais insister sur le fait que je ne parle ni d’opinion, ni d’idées, ni de faits concrets. Rationnels peut-être, mais transposer tout ça dans la réalité, c’est autre chose, nous y reviendrons à la fin. Maintenant que tout est clair, on peut commencer.
Penser est quelque chose de fictif, puisque ce n’est pas un fait que l’on produit avec des gestes ou même des expressions corporelles. La parole est également inutile, ce n’est pas nécessaire. Je vais tout d’abord vous expliquer ce que signifie ce si grand mot pour moi.
D’après moi, la pensé a un lien avec notre esprit. Tout le monde ne peut pas penser de la même façon et au même degré. Elle est propre à chaque individu. Les gens l’utilisent dans le sens que je ne veux pas impliquer dans ce texte. L’Homme ne pense qu’à lui, lui ne désigne pas forcément l’individu concerné, mais aussi les personnes rattachées à celui-ci. Ce sont aussi ses problèmes, ses histoires, sa vie au quotidien, mais passons. Tout part d’un point zéro, il faut se fixer un point de départ, une base sur laquelle on va s’atteler ensuite. Le sujet principal : comprendre l’humanité aujourd’hui. Rien que ça ! Et oui, mais ça ne se choisit pas directement, on ne se dit pas du jour au lendemain « tiens je vais essayer de comprendre le monde demain ». C’est un peu plus compliqué… Cela vient d’abord de votre esprit, donc de vous-même. Je crois que penser comme je l’explique n’est pas naturel pour l’Homme aujourd’hui. Mais il y a forte heureusement des gens qui sont encore comme ça aujourd’hui. Il faut d’abord être conscient que si nous sommes présents sur Terre, ce n’est pas grâce à nous, mais grâce à des événements que nous ne contrôlons pas, et cela peut former l’esprit : on se rend compte que rien ne nous oblige à être influencé par la société actuelle, ou à être comme tout le monde. C’est donc une forme de liberté intérieure, qui permet déjà de voir le monde comme on le souhaite et surtout différemment si on le veut, car être conscient de ça c’est déjà un grand pas dans l’exploitation de ces capacités humaines. Mais même arrivé jusqu’ici, tout n’est pas encore très clair. Être différent n’est pas une honte, loin de là, c’est même un signe de supériorité dans notre monde, car ressembler à tous ces gens dehors, n’est pas très valorisant. Je parle de l’intérieur bien sûr, pas d’autre chose. Mais pourquoi repenser le monde ? Probablement parce qu’en devenant différent, vous vous rendrez compte que la vie autour de vous est injuste, que les Hommes sont écœurants et que la société aurait pu être différente. Si vous avez lu « l’Histoire de l’Homme aujourd’hui » que j’ai écris précédemment, regardez bien la dernière phrase : « l’Homme est victime de lui-même ». Qu’est-ce que cela signifie ? Tout simplement que porter un jugement sur l’être humain, vous-même, n’est pas désobligeant, c’est même honorant, mais qui vous le dira ? Personne ne vous remerciera de le critiquer, pourtant certaines choses sautent aux yeux, certains ont mêmes honte d’être ainsi, moi par exemple, mais avec ce que je pense du monde maintenant, je me sens différent, libre et sûr de mes idées, mais je sais qu’elles ne seraient pas acceptées dans la société d’aujourd’hui.
Maintenant que je vous ai à peu près dis de quoi penser je vais vous dire comment. Vous êtes libre de faire ce que vous voulez avec votre cerveau, et de penser ce que vous voulez. Même si très peu de gens aimeraient être comme ça, essayez d’imaginer.
La pensé a d’autres liens, avec vos choix par exemple. Si vous êtes un littéraire ou un matheux, vous n’aurait pas forcément la même vision de la vie. Si vous êtes solitaire ou au contraire entouré, peut-être ne penserez-vous pas de la même façon. Certes la solitude est un moyen de voir les choses en profondeur, mais avoir beaucoup d’amis et aimé quelqu’un n’empêche rien. On pense différemment selon ses choix et sa situation, mais lorsque l’on se sent fort, on n’oublie jamais ce que l’on ressent, surtout à propos de notre monde aujourd’hui. Être maître de soi, c’est aussi savoir se contrôler psychologiquement malgré les humeurs ou des éléments extérieurs. Mais avant de devenir indépendant de l’influence de la société, des erreurs sont commises et des limites sont découvertes. Utiliser cette capacité c’est aussi découvrir et repousser ses limites d’être humain. Ces limites dépassées, on se rend compte que l’on est capable de choses que l’on n’aurait pas imaginées, malgré ce qui nous entoure. L’Homme porte trop souvent son jugement sur les autres, pense avoir toujours raison, être le plus fort, le plus intelligent… Mais s’il ne se connaît pas lui-même, comment peut-il critiquer les autres ?
Première réaction : Pourquoi se compliquer la vie, à s’efforcer de penser des choses que personne ne pense et à être différent des autres ?
Voir le monde ainsi est une erreur, c’est de l’ignorance. Après tout, qui a décidé que la vie se passée de telle manière ? On naît, on va à l’école, on découvre ses aptitudes, on continue ses études, on aime, on rit, on pleure, on donne un sens à sa vie… On trouve sa tellement évident qu’aucune raison ne nous pousse à réfléchir. Se compliquer la vie ? Chercher là où il n’y a rien à trouver ? Mais ce n’est pas ça pensé. Dans notre monde, tout le monde est dépendant de tout le monde. Mais l’être humain est aussi dépendant de l’humanité aujourd’hui. Ainsi, tout le monde est victime de toutes choses autour de lui, tout étant dépendant l’humanité, cette dernière regroupant la vie et la mort. Ainsi on ne choisit pas de naître, mais en plus on ne choisit pas qui être par la suite. Mais le fait de penser permet de tout remettre en question, et de dépasser ce modèle. Qui s’y intéresse, pas grand monde, mais le nombre ne signifie rien, seul l’esprit est déterminant.
Que devient-on après tant d’efforts et tant de détermination ? On se pose tous des questions sur l’issue d’un tel raisonnement engendrant une telle vie. Mais la réponse c’est vous qui la possédez, car la pensé permet d’être libre, et le jugement que l’on pourrait porter sur vous serait inexact s’il venait des gens autour de vous. Lorsque vous faites un choix, vous faites forcement le bon, parce que c’est vous qui l’avait fait. Les regrets et la vie peuvent vous dire le contraire, mais la vie c’est nous qui la faisons et les regrets sont issues de la vie. Encore une fois, l’Homme est victime de lui-même, il ne se comprend même pas, et ne comprend pas que les conséquences de ses actes existent parce qu’il en a décidé ainsi.
Alors la pensé est-elle un sixième sens ? Jeu de mots, certes… Mais c’est surtout une autre possibilité de donner un sens à sa vie.
On ne choisit pas de naître, on ne choisit qu'une autre manière d'affronter la fin...
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C'est pas un jugement mais un constat, après tout les gens sont comme ils sont, ce ne sont pas de simples paroles qui changeront les choses, mais Dire c'est prévenir l'avenir, on peut l'écrire, mais le parler devant des conernés ça...
On ne choisit pas de naître, on ne choisit qu'une autre manière d'affronter la fin...