[News] Analyser les conséquences négatives de la financiarisation
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[News] Analyser les conséquences négatives de la financiarisation
L’histoire récente nous a appris comment la transition d’un capitalisme fondé sur la productivité à un capitalisme financier entraîne davantage d’instabilité, moins d’égalité et la création d’un système qui se détourne de la redistribution des richesses. Le projet FUSION a décrypté cette transition et examiné ses conséquences.
Les tentatives de réforme ont jusqu’à présent échoué à inverser la tendance: chaque année qui passe, la croissance économique est de...
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Re: [News] Analyser les conséquences négatives de la financiarisation
Bonjour
Le libéralisme (nous fait remarquer J.F.Gayraud) est fondamentalement convaincu que le crime n’est qu’un phénomène marginal, une « externalité » qui sera absorbée, « blanchie », par des marchés autorégulateurs qui ne se trompent jamais. Ce qui est faux. Sur des marchés peu ou non régulés, les acteurs les moins honnêtes s’imposent toujours. Faute d’arbitre neutre et capable, l’acteur le plus louche prend toujours le dessus. Pierre Nora disait : on peut entendre sans écouter, écouter sans comprendre, savoir sans croire, croire sans réaliser, réaliser sans agir… L’ordre médiatique impose en grande partie son agenda et sa vision du monde. Avec pour conséquence, par exemple, l’incapacité de nos contemporains à appréhender les phénomènes sociaux réels mais invisibles, ceux passant justement sous le radar de l’infosphère…….Devrions-nous lui donner tort ?
NB :- Les Etats-Unis sont le pays qui, depuis longtemps, fournissent le plus grand nombre de prix Nobel ; mais il serait difficile d’affirmer qu’ils soient la société la plus juste ; la plus égalitaire, la plus efficace sur le plan social, économique et humain.
La personne humaine est devenue une ressource humaine dont le droit à l’existence est fonction de son employabilité qui, à son tour, est fonction de sa rentabilité.
Les groupes dominants, c’est-à-dire les Plutocrates, Oligarques, et certains hommes politiques complices, sans scrupules, dont l’influence sur le monde académique, universitaire et les médias est très grande, ne cessent d’essayer de banaliser, voire de rayer du vocabulaire la notion même de « bien commun » !....Les pauvres sont toujours plus nombreux et pauvres, les riches de plus en plus riches !!!
Être riche « signifie » être plus haut dans la hiérarchie sociale. D’où e désir, le rêve de posséder plus et mieux que les autres.
Cherchez l’erreur ou….l’HORREUR…..
Le libéralisme (nous fait remarquer J.F.Gayraud) est fondamentalement convaincu que le crime n’est qu’un phénomène marginal, une « externalité » qui sera absorbée, « blanchie », par des marchés autorégulateurs qui ne se trompent jamais. Ce qui est faux. Sur des marchés peu ou non régulés, les acteurs les moins honnêtes s’imposent toujours. Faute d’arbitre neutre et capable, l’acteur le plus louche prend toujours le dessus. Pierre Nora disait : on peut entendre sans écouter, écouter sans comprendre, savoir sans croire, croire sans réaliser, réaliser sans agir… L’ordre médiatique impose en grande partie son agenda et sa vision du monde. Avec pour conséquence, par exemple, l’incapacité de nos contemporains à appréhender les phénomènes sociaux réels mais invisibles, ceux passant justement sous le radar de l’infosphère…….Devrions-nous lui donner tort ?
NB :- Les Etats-Unis sont le pays qui, depuis longtemps, fournissent le plus grand nombre de prix Nobel ; mais il serait difficile d’affirmer qu’ils soient la société la plus juste ; la plus égalitaire, la plus efficace sur le plan social, économique et humain.
La personne humaine est devenue une ressource humaine dont le droit à l’existence est fonction de son employabilité qui, à son tour, est fonction de sa rentabilité.
Les groupes dominants, c’est-à-dire les Plutocrates, Oligarques, et certains hommes politiques complices, sans scrupules, dont l’influence sur le monde académique, universitaire et les médias est très grande, ne cessent d’essayer de banaliser, voire de rayer du vocabulaire la notion même de « bien commun » !....Les pauvres sont toujours plus nombreux et pauvres, les riches de plus en plus riches !!!
Être riche « signifie » être plus haut dans la hiérarchie sociale. D’où e désir, le rêve de posséder plus et mieux que les autres.
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- cisou9
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Re: [News] Analyser les conséquences négatives de la financiarisation
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Cela me fait penser à quelqu'un : Le chef des gaulois réfractaires. ______ _______Pendesinialessandro a écrit : ↑30/08/2018 - 19:11:37Bonjour
Les groupes dominants, c’est-à-dire les Plutocrates, Oligarques, et certains hommes politiques complices, sans scrupules, dont l’influence sur le monde académique, universitaire et les médias est très grande, ne cessent d’essayer de banaliser, voire de rayer du vocabulaire la notion même de « bien commun » !....Les pauvres sont toujours plus nombreux et pauvres, les riches de plus en plus riches !!!
Être riche « signifie » être plus haut dans la hiérarchie sociale. D’où e désir, le rêve de posséder plus et mieux que les autres.
Cherchez l’erreur ou….l’HORREUR…..
Un homme est heureux tant qu'il décide de l'être et nul ne peux l'en empêcher.
Alexandre Soljenitsyne.
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Re: [News] Analyser les conséquences négatives de la financiarisation
Le pire c'est que ça échappe à tous les contrôles
et entre autres la démocratie,
ça a quelques choses de purement maffieux
et entre autres la démocratie,
ça a quelques choses de purement maffieux
En ce qui concerne la recherche en sciences, Je dirais : Cherche encore !