rame automotrice électrique |
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Série | Z 5600 |
Entreprise ferroviaire | SNCF/Transilien |
Constructeur | CIMT-TCF-TCO |
Numérotation | Z 5601/2-5703/4 |
Année de construction | 1982-1985 |
Effectif en service | 52 rames (2006) |
Vitesse maximale | 140 km/h |
Longueur hors-tout | 98,760 ou 147,30 m |
Composition | 4 caisses (ZB+ZRB+ZRAB+ZB) ou 6 caisses (ZB+2ZRB+ZRB+ZRAB+ZB) |
Motorisation | 4 moteurs FHO 3262 TCO 750 V continu |
Puissance | 2800 kW |
Alimentation | continu 1,5 kV |
Écartement | standard |
Capacité | 1ère : 133 (dont 70 assises) 2ème (4 c.) : 888 (dont 480 assises) 2ème (6 c.) : 1508 (dont 816 assises) |
Masse à vide | 212,3 t ou 294,4 t |
Après la mise en service des rames réversibles à deux niveaux VB 2N, la SNCF a souhaité étendre le concept des rames de banlieue à deux niveaux aux automotrices.
L'avantage principal réside dans le fait que la motorisation y est répartie sur une partie de la rame (un véhicule sur deux) au lieu d'être concentrée sur la motrice. Cela améliore l'adhérence et donc les accélérations, point utile pour des trains à arrêts fréquents. Le concept d'automotrice améliore aussi la souplesse d'exploitation avec la possibilité de composer des rames à 4 ou 6 caisses couplables en unités multiples.
Les Z 5600 sont donc la première application de ce concept ensuite décliné en bicourant avec les Z 8800, puis les Z 20500 et enfin les Z 20900.
Quelques rames à 4 caisses du dépôt des Ardoines (Ligne C) assurent depuis septembre 2006 des missions ZYCK/DICA (Paris - Melun) sur la ligne D aux heures creuses.