rame automotrice électrique |
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Série | Z 5100 |
Entreprise ferroviaire | SNCF |
Constructeur | Carel et Fouché-MTE |
Numérotation | Z 5101-5182 |
Année de construction | 1955-1958 |
Effectif en service | radiées entre 1987 et 1998 |
Vitesse maximale | 120 km/h |
Longueur hors-tout | 68,500 m (3 caisses) 91,300 m (4 caisses) |
Composition | 3 caisses (M+2R) (ou M+3R pour 5122-26) |
Motorisation | 4 moteurs SW 8304 autoventilés 750 V |
Puissance | 880 kW |
Alimentation | continu 1,5 V |
Écartement | standard |
Capacité | 1ère : 58 (40 assises) 2e : 350 (210 assises) (3 c.) 2e : 493 (298 assises) (4 c.) |
Masse à vide | 130t (3 caisses) 183 t (4 caisses) |
Ce matériel prévu dès 1948 pour équiper la banlieue de Paris Sud-Est (Gare de Lyon) aurait du aussi équiper le réseau RER envisagé depuis les années 1930 [*].
Ainsi, les caisses ont été manifestement conçues pour desservir des quai hauts et la composition M + R prévue (et utilisée au début de l'exploitation) autorisait des performances de démarrage élevées. Comme pour leur aînées les Z 3700, il n'y a malheureusement pas de freinage électrique.
Les caisses sont construites en acier inoxydable (procédés Budd).
Il sera rajouté plus tard une remorque à chaque élément (M + R + R), 4 d'entre eux en recevant deux (M + R + R + R). Les performances générales (sauf freinage) se sont alors dégradées.
Il a été mis en service tardivement pour plusieurs raisons :
Il a aussi circulé sur :
[*] le RER étant finalement concédé à la RATP au lieu de la SNCF, celle-ci préfèrera concevoir son propre matériel roulant : le MS-61.