Ferrari 250 GT (1959-1960). Cette voiture va connaître plusieurs versions de carrosserie par Pininfarina et Zagato (à cinq reprises). Le Coupé Pinin Farina 2 places est la version de route de la célèbre 250 GT Berlinetta Competizone, dite "Tour de France".
Ferrari 250 GT Passo Corto (ou SWB)(1960-1961), moteur de 270 cv pour les 46 exemplaires produits en 1960. En 1961, une version plus puissante de 280 cv ne fut produite qu'à 22 exemplaires. Une seule fut fabriquée avec une conduite à droite (chassis n°2735) et vendue à l'écurie de Rob Walker en grande-bretagne.
Ferrari 250 GT "Lusso" (1963-1964), version de route de la 250 GT SWB (Short Wheel Base = empattement court). Son dessin est dû au crayon de Pinin Farina, elle fut l'ultime modèle de la légendaire lignée 250 GT. 351 unités fabriquées.
Ferrari 250 GTO (1962-1963). Les 35 unités produites sont toutes en état de marche à ce jour (mai 2006), il faut dire qu'elle est considérée comme une des plus belle Ferrari de compétition. D'après l'émission Turbo, elle se négocie aux alentours des 15 millions d'euros en 2007.
Ferrari 250 LM (1964). Modèle de course, qui ne connaîtra pas les heures de gloire des modèles précédents : son homologation en grand-tourisme ayant été refusée par les instances internationales de l'époque, elle fut condamnée à se battre avec les prototypes qui la surclassait. A noter cependant qu'elle remporta les 24 heures du Mans en 1965, sauvant la victoire pour Ferrari durant le combat contre Ford.
À partir de 1964, les 250 commencent à être remplacées par les Ferrari 275.