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La news rétro de ce dimanche nous propose une technique pratique du siècle dernier.
Avertissement: Cette news rétro retranscrit des connaissances scientifiques, techniques ou autres de 1925, et contient donc volontairement les arguments, incertitudes ou erreurs d'époque.
Le plombage d'une boîte, d'un carton, d'une caisse, etc., sert à garantir l'intégrité des colis expédiés par messageries, des colis postaux, des dépôts confiés à un tiers.
Prendre une ficelle d'un seul morceau, faire un nœud à 10 cm de l'un des bouts et entourer le paquet dans les deux sens en commençant à le lier au moyen d'un nœud coulant arrêté par le premier nœud; quand le ficelage est terminé et bien tendu, il faut couper la ficelle à 10 cm au-delà du dernier nœud et enfiler un plomb avec les deux extrémités de la ficelle (on trouve dans le commerce ces plombs tout préparés).
Cela fait, aplatir ce plomb avec une pince à plomber sur les deux bouts de ficelle dont on noue les extrémités qui dépassent le plomb.
La pince à plomber imprime sur le plomb une marque qui garantit l'authenticité du colis.
A défaut de plomb et de pince à plomber, surtout si on a affaire à un carton plutôt qu'à une caissette de bois, on peut fermer le paquet en collant autour des bandes de papier un peu fort, à cheval sur les deux côtés, et suppléer au plomb en employant un cachet de cire. Ces bandes de garantie et le cachet devront arriver absolument intacts au destinataire.
Dans le cas où le plomb, la marque, le cachet ou l'un des liens seraient endommagés ou rompus, refuser de prendre livraison de colis et avise immédiatement du refus l'administration responsable.
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